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Collection Les documents
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Le contrat / Fabrice Arfi (impr. 2010)
Titre : Le contrat : Karachi, l'affaire que Sarkozy voudrait oublier Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabrice Arfi, Auteur ; Fabrice Lhomme, Auteur Editeur : Paris : Stock Année de publication : impr. 2010 Autre Editeur : 72-La Flèche : Impr. CPI Brodard et Taupin Collection : Les documents Importance : 1 vol. (361 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-234-06239-9 Note générale : Bibliogr., 2 p. Langues : Français (fre) Catégories : Politique:Affaires et politique
Politique:Corruption politiqueIndex. décimale : 364.1 Résumé : Enquêter sur l'affaire de Karachi, c'est un peu comme essayer d'ouvrir un coffre-fort enfoui dans les sous-sols de l'État. Rares sont ceux qui veulent faire le casse avec vous.L'affaire de Karachi débute le 8 mai 2002. Ce jour-là , à six mille kilomètres de Paris, onze ingénieurs et techniciens français de la Direction des constructions navales (DCN) sont tués dans un attentat à la voiture piégée au Pakistan. Al-Qaida est immédiatement désigné comme responsable. Très vite, la raison d'État s'empare du dossier. Comme dans une poupée russe, une deuxième affaire va s'emboîter dans la première. Les employés de la DCN morts à Karachi travaillaient à l'exécution d'un contrat d'armement signé en toute hâte le 21 septembre 1994 par le gouvernement d'Édouard Balladur. Un an avant l'élection présidentielle. Nom du contrat : Agosta. Montant de l'opération : 825 millions d'euros. Derrière Agosta se cache en réalité une incroyable affaire de corruption internationale où l'on voit défiler intermédiaires sulfureux, commissions occultes, paradis fiscaux et appétits politiques voraces. Après plus de deux ans d'enquête, les auteurs livrent aujourd'hui de nombreux témoignages et documents inédits sur une affaire d'États dont ils ont pu établir que l'un des principaux acteurs est un certain Nicolas Sarkozy. Un ouvrage aux multiples révélations qui jette une lumière crue sur le business étatique des ventes d'armes et son corollaire, le financement occulte de la vie politique française. Le trou noir de la République. Reference document texte : fr-apidv75doc-02109 EAN code ISBN sans tirets : 9782234062399 Permalink : https://trans.apidv.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=1509 Le contrat : Karachi, l'affaire que Sarkozy voudrait oublier [texte imprimé] / Fabrice Arfi, Auteur ; Fabrice Lhomme, Auteur . - Paris : Stock : 72-La Flèche : Impr. CPI Brodard et Taupin, impr. 2010 . - 1 vol. (361 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (Les documents) .
ISBN : 978-2-234-06239-9
Bibliogr., 2 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Politique:Affaires et politique
Politique:Corruption politiqueIndex. décimale : 364.1 Résumé : Enquêter sur l'affaire de Karachi, c'est un peu comme essayer d'ouvrir un coffre-fort enfoui dans les sous-sols de l'État. Rares sont ceux qui veulent faire le casse avec vous.L'affaire de Karachi débute le 8 mai 2002. Ce jour-là , à six mille kilomètres de Paris, onze ingénieurs et techniciens français de la Direction des constructions navales (DCN) sont tués dans un attentat à la voiture piégée au Pakistan. Al-Qaida est immédiatement désigné comme responsable. Très vite, la raison d'État s'empare du dossier. Comme dans une poupée russe, une deuxième affaire va s'emboîter dans la première. Les employés de la DCN morts à Karachi travaillaient à l'exécution d'un contrat d'armement signé en toute hâte le 21 septembre 1994 par le gouvernement d'Édouard Balladur. Un an avant l'élection présidentielle. Nom du contrat : Agosta. Montant de l'opération : 825 millions d'euros. Derrière Agosta se cache en réalité une incroyable affaire de corruption internationale où l'on voit défiler intermédiaires sulfureux, commissions occultes, paradis fiscaux et appétits politiques voraces. Après plus de deux ans d'enquête, les auteurs livrent aujourd'hui de nombreux témoignages et documents inédits sur une affaire d'États dont ils ont pu établir que l'un des principaux acteurs est un certain Nicolas Sarkozy. Un ouvrage aux multiples révélations qui jette une lumière crue sur le business étatique des ventes d'armes et son corollaire, le financement occulte de la vie politique française. Le trou noir de la République. Reference document texte : fr-apidv75doc-02109 EAN code ISBN sans tirets : 9782234062399 Permalink : https://trans.apidv.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=1509 Le dernier poilu / Véronique Fourcade (impr. 2008)
Titre : Le dernier poilu : Lazare Ponticelli Type de document : texte imprimé Auteurs : Véronique Fourcade, Auteur Editeur : Paris : Stock Année de publication : impr. 2008 Autre Editeur : 72-La Flèche : Impr. Brodard et Taupin Collection : Les documents Importance : 1 vol. (230 p.) Présentation : couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-234-06184-2 Langues : Français (fre) Catégories : Histoire et géographie:Histoire:Guerre mondiale (1914-1918) Index. décimale : 940.4 Résumé : Le nom de Ponticelli restera désormais dans l'Histoire comme celui du dernier témoin des atrocités de la Première Guerre mondiale. On sait moins qu'il figure, plus discrètement il est vrai, dans les annales du monde économique et industriel français. Car la vie extraordinaire de Lazare Ponticelli ne se résume pas à ses faits d'armes, ses six ans de mobilisation, sa « croix de guerre » italienne .Lazare ne sait ni lire ni écrire et ne parle pas français lorsque, à l'âge de 9 ans, il fuit la misère de son Italie natale pour rejoindre, seul, sa mère et ses deux frères à Paris. Après l'épreuve de 14-18, les trois frères travaillent dur comme ramoneurs. Analphabètes, leurs mains débordent d'intelligence et leurs muscles de courage. Ils créent une entreprise de montage et d'entretien de cheminées d'usine. Après la seconde guerre mondiale durant laquelle les frères apportent leur contribution à la Résistance, la société Ponticelli diversifie ses activités, emploie des milliers de personnes, ouvre plusieurs agences à l'étranger et en province dont une en 1955 à Bassens, en Gironde, où le groupe emploie aujourd'hui 250 personnes. Malgré son ascension sociale, l'homme n'a jamais quitté son petit pavillon du Kremlin-Bicêtre, où il s'était installé en 1922. Plus que centenaire, il y vivait seul, faisant tous les jours son marché et lisant les chroniques économiques des journaux pour boursicoter, lui qui avait veillé à ce que sa société ne soit jamais cotée en Bourse ! En 1996, il obtient la Légion d'honneur. Son dernier défi était d'être « le der des ders », il l'a réussi : il meurt le 12 mars 2008 à l'âge de 110 ans, trois semaines après l'avant-dernier, Louis de Cazenave. . Reference document texte : fr-apidv75doc-01283 EAN code ISBN sans tirets : 9782234061842 Permalink : https://trans.apidv.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=1510 Le dernier poilu : Lazare Ponticelli [texte imprimé] / Véronique Fourcade, Auteur . - Paris : Stock : 72-La Flèche : Impr. Brodard et Taupin, impr. 2008 . - 1 vol. (230 p.) : couv. ill. ; 22 cm. - (Les documents) .
ISBN : 978-2-234-06184-2
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire et géographie:Histoire:Guerre mondiale (1914-1918) Index. décimale : 940.4 Résumé : Le nom de Ponticelli restera désormais dans l'Histoire comme celui du dernier témoin des atrocités de la Première Guerre mondiale. On sait moins qu'il figure, plus discrètement il est vrai, dans les annales du monde économique et industriel français. Car la vie extraordinaire de Lazare Ponticelli ne se résume pas à ses faits d'armes, ses six ans de mobilisation, sa « croix de guerre » italienne .Lazare ne sait ni lire ni écrire et ne parle pas français lorsque, à l'âge de 9 ans, il fuit la misère de son Italie natale pour rejoindre, seul, sa mère et ses deux frères à Paris. Après l'épreuve de 14-18, les trois frères travaillent dur comme ramoneurs. Analphabètes, leurs mains débordent d'intelligence et leurs muscles de courage. Ils créent une entreprise de montage et d'entretien de cheminées d'usine. Après la seconde guerre mondiale durant laquelle les frères apportent leur contribution à la Résistance, la société Ponticelli diversifie ses activités, emploie des milliers de personnes, ouvre plusieurs agences à l'étranger et en province dont une en 1955 à Bassens, en Gironde, où le groupe emploie aujourd'hui 250 personnes. Malgré son ascension sociale, l'homme n'a jamais quitté son petit pavillon du Kremlin-Bicêtre, où il s'était installé en 1922. Plus que centenaire, il y vivait seul, faisant tous les jours son marché et lisant les chroniques économiques des journaux pour boursicoter, lui qui avait veillé à ce que sa société ne soit jamais cotée en Bourse ! En 1996, il obtient la Légion d'honneur. Son dernier défi était d'être « le der des ders », il l'a réussi : il meurt le 12 mars 2008 à l'âge de 110 ans, trois semaines après l'avant-dernier, Louis de Cazenave. . Reference document texte : fr-apidv75doc-01283 EAN code ISBN sans tirets : 9782234061842 Permalink : https://trans.apidv.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=1510


